retrouvez nos nouvelles via notre flux RSS

 consultez nos tweets

 retrouvez nos pouets

 admirez nos photos

 retrouvez nos pouets

 admirez nos photos

Hello 2021!

Posté par Justine Konopacki le 31/01/2021


L'Association des Anciens Élèves de l'Enssat vous présente ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année !

2020 aura été une année spéciale pour l'ensemble d'entre nous.

Avec le contexte sanitaire, l'AAEE n'a pas pu vous proposer des instants de convivialité cette année. Nous espérons que 2021 pourra nous permettre de vous proposer de nouvelles activités et moments de rencontre afin de garder contact avec vous tous !

Les membres du conseil d'administration sont toujours mobilisés, et restent à votre écoute pour toute demande de votre part. Que ce soit pour des propositions de stages ou d'emplois, ou encore soumettre des idées, vous pouvez toujours nous contacter.

Vous pouvez aussi continuer de suivre l'activité de l'association via son site web (aaee.fr), Twitter (@anciensEnssat), Mastodon (@anciensEnssat@mamot.fr) et Instagram (@anciensenssat).
D'ailleurs, nous sommes en train d'analyser les réponses à notre questionnaire sur le parcours des diplômés de l'ENSSAT, et devrions prochainement contacter certains d'entre vous à ce sujet.
Nous sommes également en train de finaliser un autre projet pour favoriser les échanges entre vous, diplômés de l'école, mais aussi les étudiants. Nous vous annoncerons prochainement quand ce sera prêt.

Nous espérons que 2021 sera plus agréable et positive pour vous !

Nous vous souhaitons, encore une fois, nos meilleurs vœux pour l'année 2021 et n'oubliez pas de prendre soin de vous et de vos proches !

L'AAEE mobilisée pour les étudiant·e·s de l'ENSSAT

Posté par Pierre-Yves Lapersonne le 13/11/2020



Un masque de protection blanc mis sur un ballon gonflable orange avec des lunettes, dans un amphithéâtre devant des feuilles de cours


La période actuelle est compliquée, que ce soit sur le plan sanitaire comme professionnel.
Un deuxième confinement est mis en place, alors que les établissements d'enseignement et les commerces se relèvent à peine du premier, et que des entreprises n'ont pas survécu.

Afin d'envisager la rentrée plus sereinement, et suite à la suggestion de Sylvain Camus (LSI 2001), l'AAEE a décidé de se mobiliser pour fournir aux étudiants de l'ENSSAT des masques de protection lavables.

En effet, les étudiants n'étaient pas tous préparés de la même façon pour aborder la rentrée dans ce contexte anxiogène, et nous ne souhaitions pas que pour des raisons financières certains d'entre eux mettent en danger leur santé. De plus, pour cette rentrée 2020, aucune action de protection des étudiants n'a été réalisée par l'Université de Rennes 1 ou le Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche et de l'Innovation.

Pendant la période estivale, le conseil d'administration de l'association s'est mobilisé pour proposer rapidement une solution concernant ce manquement.
Ainsi, il a été voté l'achat de 1200 masques lavables afin de fournir gratuitement 4 masques pour chaque étudiant de 1ère et 2ème année quelle que soit la promotion, soit près de 300 étudiants.
Malheureusement nous ne pouvions nous permettre d'acheter et distribuer des masques pour les étudiants de 3ème année.

Financièrement le coût d'achat des masques a été équitablement réparti entre la Caisse de Secours, destinée à soutenir les étudiants dans le besoin, et la caisse principale de l'association.

Le prestataire retenu était Dalmard Marine, entreprise implantée dans les Côtes d'Armor.

Nous remercions vivement l'Association des Etudiants de l'Enssat pour s'être mobilisée afin de distribuer les masques !

Plus d'information sur Dalmard Marine : www.dalmardmarine.com

COVID-19 : Les étudiants cherchent des stages !

Posté par Chloe Corfmat le 19/05/2020



Deux personnes derrière un ordinateur
Photo de NESA by Makers sur Unsplash


Chaque année, pour compléter leur formation académique, les étudiants de l'Enssat doivent faire un stage en entreprise.


Cette année, la crise sanitaire et économique n'a pas facilité les recherches pour les étudiants de 2ème et 3ème année qui ont besoin de cette expérience (pour valider leur année et être diplômés pour certains).


Actuellement, plusieurs élèves-ingénieurs ont vu leur stage annulé ou reporté par leur entreprise d'accueil faute de pouvoir les accueillir dans de bonnes conditions.


Aujourd'hui, l'AAEE se mobilise pour aider ces étudiants à trouver un stage !


Les étudiants de 3ème année


Une dizaine d'étudiants de 3A ont vu leur PFE (projet de fin d'études) annulé. Ils cherchent donc un PFE dès que possible afin de pouvoir être diplômé cette année (l'idéal étant un démarrage dès le mois de juin). Une partie de ce stage peut être effectuée en télétravail, mais une présence significative en entreprise reste indispensable.


Les étudiants de 2ème année


Bon nombre d'étudiants de 2A n'ont pas encore trouvé de stage technique (nécessaire à la validation de leur 2ème année de formation). Ces stages courts peuvent durer de 3 semaines à 2 mois et ne sont pas nécessairement rémunérés.


Comment les aider ?


Toutes les filières sont concernées : Informatique, Photonique et Systèmes numériques (ex-filière électronique) et les stages peuvent avoir lieu partout en France. En raison de la situation actuelle, les stages à l'étranger sont actuellement interdits, sauf si ceux-ci sont effectués sous forme d'un contrat de travail.


En tant que diplômé(e) de l'école, vous êtes donc les mieux placés pour savoir si vos entreprises peuvent proposer un stage à l'un des étudiants. C'est pour cette raison que nous faisons appel à vous et à votre réseau pour trouver des sujets de stage pour tous les étudiants.
Si vous êtes en mesure de proposer un stage à l'un des étudiants de 2ème ou 3ème année ou si vous avez des questions, n'hésitez pas à prendre contact directement avec Philippe QUÉMERAIS par mail via responsable.relations-entreprises@enssat.fr. Pour en savoir plus, vous trouverez également des informations sur le site de l'école : Espace stages et alternances.


Merci d'avance pour eux !

L'AAEE et IESF France

Posté par Justine Konopacki le 19/04/2020


Suite à notre article publié le 27/02/2020 sur nos interrogations quant à la pertinence de l’adhésion de l’AAEE à Ingénieurs Et Scientifiques de France (IESF) j’ai eu l’occasion, en tant que présidente de l’AAEE, d’échanger avec Jean Dambreville, Délégué Général de IESF France.

Le problème de l’adhésion à IESF France pour les petites associations d'alumnis est un sujet récurrent. Nous ne sommes pas les seuls à nous interroger sur l’intérêt d’adhérer à IESF France. Je vous propose un compte-rendu concis de nos échanges ; et tiens à remercier M. Dambreville pour sa disponibilité et la qualité des réponses fournies.


La cotisation à IESF France et l’offre IESF


La cotisation à IESF France d’un montant de 500 euros a un impact non négligeable sur notre budget, et nous ne percevons toujours pas le retour sur investissement.
Le montant de la cotisation correspond actuellement au montant de celles que nous percevons de nos adhérents. IESF a déjà fait un geste en 2019 en réévaluant le montant des cotisations, merci à eux. Ce montant de 500 euros a été réduit à 450 euros. Malgré cette baisse, nous continuons de nous interroger sur l’intérêt d’adhérer à IESF France ; cette somme est toujours aussi conséquente pour nos finances.
Comme beaucoup d’associations, le nombre de cotisations à l’année est en baisse.
En tant que petite association, notre principal attrait à IESF concerne la mise à jour du Répertoire National de l’Ingénieur (RNI).

IESF France et IESF régionales


L'idée de base des instances régionales est de regrouper des associations d'anciens de différentes écoles afin d’avoir une cotisation à IESF France qui est mutualisée. Ces instances locales devaient permettre aux petites associations de continuer à suivre l'actualité de IESF France tout en évitant de payer une contribution trop forte pour elles.
Toutefois il s'est avéré que les instances régionales sont des entités bien distinctes de IESF France.
Le manque de communication et/ou la mauvaise communication a mis un bonne partie des associations d’alumni dans le flou le plus total.
Typiquement, une association d’alumni qui cotise à l’entité régionale (et ne cotise plus à IESF France) ne peut pas ajouter les nouveaux diplômés dans le RNI mais peut, par l’intermédiaire de l’instance régionale, le faire si celle-ci en a les moyens humains.

Notre intérêt à adhérer à IESF Bretagne est maintenant dans leurs mains. En effet, cette entité régionale a « théoriquement » possibilité d’ajouter les nouveaux diplômés mais faut-il encore qu’elle soit au courant de cette possibilité et de comment réaliser ces opérations. Nous dépendons donc d'un intermédiaire régional qui peine à communiquer, comme les instances homologues, avec IESF France.

IESF et les réunions des présidents


Un des principaux problèmes des réunions concerne les horaires et le manque de visio-conférences organisées pour pouvoir assister aux réunions à distance.
Les horaires des réunions IESF sont en effet inadaptés pour des présidents d'associations d'alumni qui ont une activité professionnelle : il y a de façon récurrente des réunions de travail en semaine à partir de 15h. Or, ces rendez-vous ne peuvent être tenus par des membres d'associations d'alumni qui ont une activité salariée à plein temps.

Abordons maintenant l’organisation de visio-conférences qui est un problème phare à IESF France. Certains membres décisionnaires de IESF sont réfractaires aux réunions organisées par visio et n'ont pas l'automatisme de considérer les intervenants hors région parisienne. Cette situation ne permet d'aucune manière de faire avancer pleinement l’association.
Le délégué général essaye de favoriser l'utilisation de "nouvelles technologies" lors des réunions IESF et désire pleinement, comme nous autres, d'améliorer la situation : en vain pour le moment !

Les actions IESF


Promouvoir le métier de l’ingénieur


Concrètement IESF ne peut pas financer les initiatives d'étudiants.
Le projet EPE Ada Lovelace s’est vu refuser une demande d'aide financière en 2019 alors que de projet entre pleinement dans le cadre des actions menées par IESF.

Quand aux interventions dans des établissements scolaires (collèges, lycées), il y a assez peu de détails sur les territoires concernés.
De manière générale, lorsque nous voulons des métriques précises sur les activités de IESF nous n'en avons pas ou alors uniquement avec un grain d'information très grossier. Ce point n'a pas été abordé lors de notre échange


L’enquête ingénieur


Un des plus gros postes de dépense d’IESF, d'où le fait qu'il soit payant pour nous si nous désirons obtenir un grain d'information précis.

Le Registre National des Ingénieurs (RNI)


Pour le RNI il y a deux tendances visibles pour IESF France :

  • Les petites association d'alumni (comme la notre) qui souhaitent absolument mettre à jour le RNI avec les nouveaux diplômés

  • Les grandes associations d'alumni (Centrale, Polytech, Télécom…) qui ont leur propre annuaire qu'ils vendent aux entités de recrutement... Dans ce cas, le RNI IESF France est un bon concurrent puisqu'il est gratuit ! Ces associations d'anciens ont donc décidé de supprimer l'ensemble de leurs diplômés de la base du RNI IESF France.


À côté de cela, le gouvernement est en train de proposer un registre national des diplômés. Ce projet date d'il y a deux ans : actuellement les diplômés BAC, CAP ont été ajoutés au registre. Ce registre est mis à jour petit à petit, nous pourrions espérer avoir les diplômés ingénieurs d'ici 5 ans (voir plus).

L'équivalence généralisée du diplôme d'ingénieur Français


Le système Labellis proposé par IESF permet d'avoir une équivalence de grade Master of Science aux Etats-Unis, Canada et Australie… Cependant, tout ancien de l'Enssat peut demander à l'Université de Rennes 1 d’obtenir une équivalence Master : ce qui revient à la même chose que ce que propose IESF France avec Labellis.

Finalement ?



L'échange avec M. Dambreville, qui fut riche et intéressant, confirme les doutes que nous avions concernant leur utilité ainsi que leur capacité à répondre à nos besoins.

Cependant nous ne pouvons que constater amèrement que IESF ne donne plus l'impression d'être une association capable d'être présente sur le terrain et de montrer qu'elle peut rester à jour, ce qui renforce un sentiment de distance vis à vis des petites associations d'alumni.
Les Journées Nationales de l'Ingénieur ne donnent pas assez de visibilité à nos évènements ; et nous n'avons aucune métrique pouvons montrer le contraire.
Le Registre National des Ingénieurs est concurrencé de toutes parts ; et encore une fois nous ne pouvons que constater le manque d'informations précises sur son usage. Qui le consulte ? Pour quels profils ? De quelles écoles ? A quels moments ?
Le projet Labellis ne représente aucun intérêt, a priori, pour nous ou l'école.
Quand a un quelconque soutient financier ponctuel nous ne pouvons compter sur l'association.
En considérant l'impact budgétaire que la cotisation représente, plus que jamais le doute sur son intérêt est permis. Nous nous refusons des postes de dépenses gaspillés ainsi qui auraient pu être mobilisés ailleurs.


Loin de nous l'idée de transformer chaque exercice de communication concernant IESF en diatribe à son encontre, nous ne souhaitons pas voir cette distance vis à vis d'elle se transformer en défiance.
Ainsi cette situation compliquée me motive d'avantage à m'impliquer personnellement, en tant que présidente de l'AAEE auprès des instances de IESF. J'espère pouvoir rejoindre son conseil décisionnel afin de pouvoir contribuer à l'amélioration de la situation.
Dans le même temps nous nous rapprochons de IESF Bretagne pour envisager d'autres solutions à nos problèmes.


Justine Konopacki - Présidente de l'AAEE

COVID-19 : S'organiser pendant la crise sanitaire

Posté par Chloe Corfmat le 28/03/2020


En France, nous vivons actuellement une période très particulière puisque nous sommes confinés depuis maintenant près de 2 semaines. Pour commencer, nous espérons que vous, votre famille et vos proches vous portez bien.

Hier, le Premier Ministre a annoncé la prolongation du confinement. Nous savons que beaucoup d'entre vous ont dû adapter leur manière d'exercer leur activité professionnelle notamment grâce au télétravail. C'est pourquoi nous vous proposons 2 liens afin de mieux vous organiser au quotidien.


  • Une liste collaborative de ressources pour le télétravail publiée par Julien Landuré de Zenika sur Github.

  • La newsletter de Solutions numériques du 17 mars dernier propose un certain nombre d'articles consacrés également au télétravail (sécurité, outils collaboratifs...). Vous pouvez la retrouver sur leur site.

Si vous avez vu d'autres ressources pertinentes, n'hésitez pas à nous les partager afin que nous complétions cet article.

Par ailleurs, depuis le début du confinement, nous avons pu assister à différentes preuves de solidarité partout en France. Si vous souhaitez vous investir dans cette lutte contre le coronavirus en aidant les personnes vulnérables, les soignants..., nous ne pouvons que vous inciter à vous inscrire sur la plateforme #Jeveuxaider du gouvernement.

L'association reste disponible sur ses réseaux sociaux Twitter et Instagram si vous souhaitez échanger avec nous. Enfin, nous vous souhaitons beaucoup de courage dans cette crise sanitaire. Et surtout n'oubliez pas #RestezChezVous et respectez les gestes barrières !

Le Challenge Ada Lovelace

Posté par Pierre-Yves Lapersonne le 06/03/2020



Quelques participantes concentrés lors du challenge


Depuis plusieurs années la ville de Lannion connait un événement important, à savoir le Challenge Ada Lovelace, qui a démarré aujourd'hui.

Ce challenge, qui commence à faire des émules, tente de répondre à une problématique importante. En effet, aujourd'hui les femmes sont sous-représentées dans le domaine de l'ingénierie et surtout de l'informatique. Il y a par exemple moins de 8% de jeunes filles dans les IUT d'Informatique, et seulement entre 10% et 15% en école d'ingénieurs !

L'objectif de ca challenge est de faire découvrir la programmation aux participantes, mais aussi de leur permettre d'en apprendre davantage sur le monde de l'informatique, le tout avec plaisir.

Cette année, c'est 54 lycéennes venues de toute la Bretagne qui ont 48h pour implémenter un site web sur un thème donné. Des tutrices, étudiantes à l'ENSSAT, sont là pour les soutenir et partager leur expérience.
Enfin, le jury composé de femmes ingénieurs en informatique note les créations des lycéennes.
Cette année, 3 anciennes élèves de l'ENSSAT sont membres du jury et travaillent chez Orange, Nokia ou Apizee.

Merci à elles, et bonne chance aux participantes !

Si vous voulez en savoir davantage sur le challenge, c'est par ici.